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Certains signes ne trompent pas : c’est bien la rentrée avec la reprise de notre généreux programme de ciné-clubs, aux côtés d’autres évènements. Alors Oui à ces nombreux évènements !… Oui, comme le nouveau film de Nadav Lapid, que nous découvrirons mercredi prochain en sa présence, et qu’un cycle annonce cette semaine.
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Le langage cinématographique de Paul Vecchiali est impitoyable, dans le sens d’implacable ou d’inflexible. Dans les fusillades chorégraphiées d’À toute épreuve, John Woo l’est aussi, mais plus dans l’acceptation de « sans pitié ».
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Paul Vecchiali nous a quittés en janvier 2023. Plus de deux ans plus tard, ce brillant et facétieux cinéaste nous adresse son dernier film, Bonjour la langue, improvisé avec Pascal Cervo, qui viendra
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Nous sommes très heureux de ressortir cette semaine Shocker sur une copie restaurée en 4K. Il faut dire que Shocker n’est pas le film le plus réputé de son auteur…
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Le Grand Action restera ouvert tout l’été, avec un programme porté par la Trilogie d’Oslo de Dag Johan Haugerud et notre Hommage à David Lynch. Ils seront rejoints par de belles rééditions : trois John Huston
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Voici donc le troisième et dernier volet de la Trilogie d’Oslo de Dag Johan Haugerud, Désir qui arrive sur nos écrans. Ce triptyque de films norvégiens, unanimement salué par la presse et le public.
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Mercredi, Amour, le deuxième volet de la Trilogie d’Oslo de Dag Johan Haugerud, arrive sur nos écrans. Il rejoint Rêves, sorti la semaine dernière, et annonce Désir, que l’on verra dans huit jours.
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En ce chaud début juillet arrive sur nos écrans une fraicheur salutaire venue du nord, Rêves, l’Ours d’or du Festival de Berlin, premier volet de la Trilogie d’Oslo de Dag Johan Haugerud
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Un film peut nous mettre Sous Hypnose ; c’est d’ailleurs le titre de notre sortie de la semaine, un ovni venu de Suède, signé Ernst de Geer, jeune réalisateur qui impose un ton satyrique bien particulier.
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Un film propose toujours un voyage, qu’il soit lointain, intime ou temporel. Celui Antonin Peretjatko nous emmène en Voyage au bord de la guerre, superbe documentaire de création, tourné en 16mm et en Ukraine
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Au Grand Action, CLIMAX, « Vert » un nouveau cinéma est le point culminant de la semaine, mais s’applique également au cinéma de Lynch, immense réalisateur disparu en janvier et auquel nous rendons hommage. Outre cet hommage David Lynch et L’Arbre de l’Authenticité commenté par Pierre Haski et Cédric Villani
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Via le lancement de notre nouveau Ciné-club Al-Adab à l’écran, mais aussi avec le film de Louis-Jean Tissot consacré au philosophe Hippias et même grâce à Warassa proposé par les Écrans d’Afrique ou La Trilogie transamazonienne, deJanaina Wagner, le Grand Action propose cette semaine des événements qui parlent de cultures et de civilisations.
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Après sa présentation au Festival de Cannes, The Phoenician Scheme, le nouveau Wes Anderson, arrive sur nos écrans, accompagné d’un cycle qui montre la cohérence de l’auteur
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Avant l’arrivée sur nos écrans mercredi prochain de The Phoenician scheme, le nouveau Wes Anderson présenté à Cannes, un cycle vous permet de réviser vos connaissances sur la tendre mécanique, précise et colorée
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Alors que court le bruit de la prochaine ouverture du Festival de Cannes, sort au Grand Action une délirante comédie politique – Rumours – qui y fut présentée l’année dernière.
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Un David Cronenberg ne laisse jamais indifférent, et tous les média ont annoncé Les Linceuls, son nouveau film majeur, où l’on retrouve nombre d’obsessions du réalisateur visionnaire ; un cycle permet de réviser leur récurrence
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Nous vous proposons également deux avant-premières – Bonjour la langue, de Paul Vecchiali, dimanche à 16h30 et Les Linceuls, le nouveau David Cronenberg, mardi à 20h – et de découvrir lors du Ganache Festival
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La sortie de la semaine rayonne de musique, de joie, de vie et d’amour. Avec Festa Major, Jean-Baptiste Alazard nous entraîne dans la folle sarabande d’une fête séculaire d’un petit village au pied des Pyrénées.
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Pas de sortie cette semaine, mais plusieurs événements hétéroclites, deux cycles de style très différent et une programmation éclectique de films de qualité – récents ou réédités -, dominée par Ce n’est qu’un au revoir et Un Pincement au cœur, les deux derniers moyens métrages de Guillaume Brac
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Guillaume Brac est un réalisateur passionné par la jeunesse, qui alterne fictions rohmériennes et documentaires délicats, comme ceux que nous sortons cette semaine : Ce n’est qu’un au revoir et Un Pincement au cœur, qu’accompagne un cycle
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La jolie chanson de Souchon nous offre le titre de la lettre de cette semaine, lors de laquelle nous célébrerons le méconnu et rare Cinéma Soudanais : défis et résiliences. Mais il y aura d’autres évènements dont, entre autres, un Collectif jeune Cinéma spécial Marc Hurtado
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Ce qui est neuf, c’est notre sortie de la semaine, un étonnant thriller familial argentin d’Hernán Rosselli : Quelque chose de vieux, quelque chose de neuf, quelque chose d’emprunté. Quant aux glaciers, sujet du Ciné-Club Climax de mercredi 19h30, ils sont vieux de plusieurs millénaires et empruntés par nous aux générations suivantes
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Bong Joon-Ho, dont le dernier Mickey 17 est éclairé par un cycle, demeure en haut de l’affiche. Il la partage toutefois avec certains de nos récents succès, dont The Brutalist de Brady Corbet, A Real pain de Jesse Eisenberg, ou encore Anora qui vient de récolter une moisson d’Oscar.
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Notre titre fait référence à Mickey 17, le dernier Bong Joon-Ho, une dystopie où Robert Pattinson n’en finit pas de mourir pour renaître. Quant au nord, nous l’accueillons pendant les cinq jours de la première édition de Visions Nordiques.
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On parodie la fameuse réplique du Dernier Métro pour annoncer la sortie de A real Pain, le deuxième long-métrage de Jesse Eisenberg, sur le voyage mémoriel tragi-comique de deux cousins dans la Pologne de leurs aïeuls.
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ue ce soit avec les Native Americans ou avec les immigrants, les États-Unis n’ont pas toujours été exemplaires. La preuve par deux films : The Brutalist, où Brady Corbet raconte l’enfer d’un architecte rescapé des camps de la mort arrivant dans l’Amérique WASP, et Buffalo Bill et les indiens, notre réédition de la semaine
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The Brutalist, le film le plus attendu et ambitieux de ce début d’année, sort ce mercredi au Grand Action. De l’immense spectacle.
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On est toujours ému d’entendre Bellini ou Puccini chantés par La Callas, exceptionnelle soprano que Pablo Larraín évoque dans Maria. C’est donc du grand spectacle lyrique qui sort cette semaine
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Claire Simon nous emmène à l’école, dans une banlieue parisienne populaire. Apprendre est une immersion aux côtés des nouveaux hussards de la République : les femmes et les hommes qui enseignent aux enfants d’aujourd’hui.
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Comme chaque mois de janvier, le Festival Télérama nous propose de revoir les meilleurs films de l’an passé, dont plusieurs furent projetés au Grand Action. Certains serons suivis d’un débat, Les Fantômes, présenté mercredi à 20h15 par son réalisateur Jonathan Millet
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Le Ciné-club CLIMAX de mercredi 19h30 apportera la réponse à cette question après la projection de deux films. Thèse : Le Chant du styrène, formidable ode au plastique d’Alain Resnais de 1958 ; antithèse avec Eco lanta, où Luke Romo Hodges dresse un portrait plus mitigé
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Richard Linklater a réalisé l’inoubliable Boyhood, tourné de 2002 à 2013. Deux ans plus tôt, ans, il sortait Bernie aux USA, une savoureuse et macabre comédie
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Après le Nosferatu de Robert Eggers, voici donc Eephus, où Carson Lund filme avec tendresse et langueur la dernière partie de baseball d’une bande de potes
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C’est donc un père Noël un peu particulier (et aux grandes dents) qui débarque au Grand Action pour le 25 décembre : Nosferatu, dans la version de Robert Eggers, va faire souffler un vent glacial dans nos salles.
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Cette très belle phrase est tirée de Oh, Canada, notre sortie de la semaine. Paul Schrader adapte dans son nouveau film l’un des derniers romans, quasi-testamentaire, de son ami Russel Banks, et donne le rôle principal à une autre vieille connaissance : Richard Gere
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A raison d’une par semaine, les sorties continuent au Grand Action avec le très réjouissant et de saison Noël à Miller’s point, accompagné d’un cycle Tyler Taormina. Et comme c’est la période des cadeaux
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Les sorties s’enchaînent au Grand Action : après Les Reines du drame, d’Alexis Langlois (projeté en sa présence jeudi), et avant Noël à Miller’s Point mercredi prochain, voici venir le chauffeur de taxi de Daddio, premier film de Christy Hall
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Le premier des événements se tiendra mercredi à 16h30 pour fêter la sortie sur nos écrans des Reines du drame.
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Vert et queer pour nos trois avant-premières de la semaine, et Med comme le palmarès des Nuits Med 2024.
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Cette semaine, c’est Good One, un premier long-métrage féministe et indépendant d’une prometteuse jeune réalisatrice : India Donaldson.
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En 2018, Piero Usberti partit pour un Voyage à Gaza. Il en a tiré un témoignage bouleversant. En 1974, dans le Zaïre de Mobutu, Leon Gast suivait un combat mythique qui allait bien au-delà de la boxe.
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Nous sommes fiers de vous présenter la Palme d’Or cannoise, Anora. Très attendue, cette effrénée histoire d’amour de la jeunesse est joyeusement savoureuse.
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Notre semaine annonce le futur, avec deux avant-premières : vendredi, nous verrons Les Femmes au balcon, de Noémie Merlant, avec la directrice de la photographie Evgenia Alexandrova et, lundi, Voyage à Gaza, de Piero Usberti, en sa présence.
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Chaque film est un essai, un prototype qui ne sera jamais reproduit et même les suites sont uniques. Le Festival des Cinémas différents et expérimentaux de Paris explore avec une acuité supérieure cette aspect de la production
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Un Amor, le beau et étrange film d’amour d’Isabel Coixet, et La Noire de…, drame d’Ousmane Sembène sont les vedettes de la semaine,
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Que cette semaine vous apporte la paix et vous permette de découvrir les richesses de Gange sur Seine, festival du cinéma indien. Dans un tout autre genre, nous sommes contents de ressortir la version restaurée de Terminator,
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Le Grand Action a noué des liens avec 14 ciné-clubs. Certains de ces rdv réunissent des professionnels, d’autres des étudiants ou des défenseurs d’une cause, ou bien encore des amateurs de films venus de Grèce ou d’Afrique. Jeudi soir, un nouvel arrivant entre dans le cercle : le Ciné-Club La Relève.
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Avec 5 ciné-clubs, 1 avant-première, 2 cycles, une 30 de films, dont 2 exclus de la rentrée, on peut considérer que le Grand Action reprend son rythme normal.
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Entre le 6e Festival du cinéma Bulgare , l’avant-première de La Noire de… du Sénégalais Ousmane Sembène, et Le Désert rouge, de l’Italien Michelangelo Antonioni, notre programme de la semaine est international
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Référence au 2e long métrage de Thierry de Peretti, ce titre correspond aussi à À son Image, qui sort cette semaine. D’une certaine manière, il propose un contre-champ féministe à Une Vie Violente qui, déjà, évoquait les combats indépendantistes corses.
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