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Voilà l’été.
Chères spectatrices, chers spectateurs,Cet été, nous ferons tourner Le Congrès, stupéfiant film d’Ari Folman et notre Cycle Akira Kurosawa (qui passe à 14 films), plus quelques autres stars : Gatsby, Django et John Cassavetes cette semaine. Au mitan de l’été, quelques nouveautés et un cycle Alfred Hitchcock. On y revient plus loin. Depuis la semaine dernière, nous projetons un film cannois, Le Congrès, où Ari Folman […]
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Grand écart
Au Grand Action, quand il s’agit de grand cinéma nous n’avons pas peur des grands écarts. Ainsi nous irons de la nouveauté de la semaine, Le Congrès, trip philosophico-futuriste d’Ari Folman,
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Après le festival.
Nous retrouvons donc Robert Redford en Great Gatsby, meilleure adaptation du roman de Fitzgerald signée Jack Clayton, et Jamie Foxx en Django Unchained, de Tarantino. Retour aussi de notre cycle John Cassavetes,
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Paris Cinéma, deuxième !
Nos deux sections du Festival Paris Cinéma reviennent en deuxième semaine au Grand Action. De grands films de répertoire superbement réédités (copies neuves restaurées) pour le programme Paris Ciné Classics
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Paris Cinéma
Si l’on va retrouver quelques films et cycles des précédentes semaines – The Great Gatsby, le Cycle Robert Redford et celui consacré à John Cassavetes
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Robert, Gatsby, John et Asghar
Robert, c’est Redford et vous le connaissez. Il est le merveilleux Great Gatsby, incarnation du héros de Fitzgerald dans le film de Jack Clayton, et aussi vedette incontestée et incontestable du Cycle Robert Redford
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Le plein de rendez-vous.
Peu de nouveautés cette semaine : vous retrouverez The Great Gatby, le cycle The Great Robert Redford, celui sur L’Empreinte du Territoire et quelques un de nos anciens succès. Il y a en revanche beaucoup d’événements.
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Le cinéma, un art féminin ?
On a beaucoup glosé sur la faible représentation féminine au dernier festival de Cannes (une seule réalisatrice en compétition officielle). En réponse à cette supposée misogynie de la famille du cinéma, le Grand Action consacre son écran à une soirée exceptionnelle, dont les femmes – et leur corps – sont les vedettes
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L’empreinte de Redford.
The Great Gatsby, version 1974, est toujours à l’affiche, rejoint par un Cycle Robert Redford, qui célèbre le magnifique interprète du film de Jack Clayton.
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Gatsby, the Great.
En cette semaine où tous les feux de l’actualité cinématographique sont tournés vers la Croisette, notre programme ressemble à s’y méprendre à celui de la semaine dernière. Avec en vedette The Great Gatsby, version 1974 de Jack Clayton
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C’est magnifique !
Mercredi soir, l’écran panoramique du Grand Action prend ses couleurs cannoises en vous proposant la Montée des Marches en direct de l’ouverture de Cannes 2013.
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Avant Cannes.
Mercredi prochain, dès 19h, nous vous invitons à venir suivre la montée des marches en direct sur l’écran panoramique du Grand Action. Et, pour poursuivre la fête, à voir en avant-première la réédition sur copie neuve de Gatsby le magnifique, version originale de 1974 signée Jack Clayton
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Plein d’histoires.
des histoires, nous vous servons d’excellentes cette semaine. Histoire de manipulations écologiques dans Promised Land, dernier film de Gus Van Sant, histoire de crime féminin dans Passion de De Palma
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Fatal
Cette semaine au Grand Action, les fatales promesses du gaz de schiste de Promised Land, dernier film de Gus Van Sant ; le voyage fatal de Claude Ridder, alias Claude Rich, dans Je t’Aime, Je t’Aime d’Alain Resnais
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Indignons-nous !
Un titre hommage au vieux Hessel qui nous avait montré la voie pour introduire la sortie de la semaine, Promised Land. Dans son dernier film, Gus Van Sant s’attaque aux gaz de schiste avec la complicité de Matt Damon
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Pour tous les goûts.
Même si cette semaine est relativement calme – pas d’événement ni de nouveauté – elle n’en demeure pas moins intéressante. Voire même passionnante avec Passion, de De Palma, printanière avec Spring Breakers, d’Harmony Korine, déchainée avec Django Unchained,
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Promesse de cinéma
La promesse à laquelle nous nous engageons, semaine après semaine, c’est de vous montrer de bons films, de beaux films, des films que nous aimons. Là, ce sera un cycle Marco Bellocchio, grand du cinéma italien contemporain, un autre consacré à Harmony Korine, p
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Lumière.
Lumière, c’est le nom des inventeurs du cinématographe. C’est aussi le nom du Ciné-Club Louis Lumière qui invite dimanche Guillaume Schiffman, opérateur de Michel Hazanavicius et de son OSS 117.
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Club de cinéma.
Cinéma-Club, Ciné-Club Positif, et même Club des fans d’Alexeï Guerman avec une séance de son hommage présentée par son producteur, les clubers de cinéma se retrouveront cette semaine dans les événements qui la rythmeront. Et puis, entre deux, ils pourront toujours voir Passion, le dernier De Palma, Django Unchained, le dernier Tarantino
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Hommage au cinéma.
Semaine après semaine, nous rendons de vibrants hommages aux cinémas, à tous les cinémas. Hommage à Shakespeare et à ses adaptateurs, hommage à De Palma
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La lumière de Shakespeare.
Il est parfois bon d’évoquer le nom de Shakespeare, l’un des pères éternels de la dramaturgie, pour recadrer le débat. Car si ce bon William n’a pas connu le cinéma, il l’a pourtant largement éclairé de ses lumières, inspirant bon nombre d’adaptations
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Passion technique.
Le cinéma est, bien sûr, un art. Brian de Palma et Tarantino nous le rappellent dans Passion et Django Unchained, à l’unisson de Ferrara (4h44 Dernier Jour sur la Terre) et des frères Taviani
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La Passion cinéma.
La semaine dernière, nous clamions notre amour du cinéma. Cette semaine, c’est de la passion ! Passion, comme le titre du dernier film de Brian de Palma, une somptueuse variation perverse qui nous rappelle tout le talent du réalisateur.
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like, amo, συμπαθ?, daisuki, j’aime… le cinéma !
L’amour du cinéma, ça se dit dans toutes les langues. En français parce que c’est la notre, et en anglais parce qu’on aime le cinéma américain, représenté cette semaine par Tarantino
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Vous aimez quel genre de films ? Les films de genre !
Même si le genre des films est né avec le cinéma, quand on pense « film de genre », certains critiques se bouchent le nez (ou ferment les yeux, c’est selon). Car, au delà
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Evénement et événements.
L’événement de la semaine (même s’il est sorti mercredi dernier), c’est bien sûr Django Unchained, ou « il était une fois dans le Sud » de Quentin Tarantino
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Déchainé !
Chères spectatrices, chers spectateurs,Grosse semaine avec d’une part, la sortie de Django Unchained, le western cinglé de Quentin Tarantino, et d’autre part, le Festival Télérama pour rattraper les films que l’on a pas eu le temps de voir en 2012. Il est des films plus attendus que d’autres. Si un Tarantino ne laisse jamais de glace le petit […]
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2013 débute en Amérique.
Cette année commence au Grand Action avec nos vœux, mais d’abord avec une belle sélection de films signés par les plus fameux réalisateurs d’outre-Atlantique. Entre cycles et événements, sont présents Hawks, Kubrick, Ferrara
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Joyeuses fêtes.
Si vous lisez cette lettre, c’est que les Mayas s’étaient donc bien trompés, tout comme Nostradamus il y a quelques années. La fin du monde n’est pas pour tout de suite – elle viendra bien assez tôt -, mais elle demeure le sujet d’Abel Ferrara dans 4:44, Dernier Jour sur la Terre.
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La fin de tout
Ça fait deux semaines que l’on vous en parle, mais ce coup ci, c’est bon : la fin du monde est pour bientôt. Et Abel Ferrara la fête avec beaucoup de finesse dans son dernier film 4:44, Dernier Jour sur Terre.
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Fin du monde.
Vous n’êtes pas sans savoir qu’il s’agit peut-être de notre dernière lettre puisque, d’après les mayas et les médias, l’apocalypse est annoncée pour le 21 décembre. Profitons donc bien de nos ultimes moments au cinéma, avec notre cycle Dernières séances avant probable fin du monde
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La rengaine de la fin du monde.
Comme nous le rappelle notre cycle Dernières séances avant probable fin du monde, l’apocalypse approche. A moins que vous ne vous soyez exilé à Bugarach, village des Pyrénées
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Cinéma témoin
Cette semaine est marquée par la sortie nationale de Piazza Fontana, dernier film de Marco Tullio Giordana. Depuis le sombre destin de Pasolini formidablement décrypté
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L’Enfance de l’Art.
Ce titre emprunté à nos amis des séances jeune public dominicales et des rituelles dernières lignes de nos courriers, fait aussi référence à Fear and Desire, le premier long métrage de Stanley Kubrick
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Cinéma métaphysique.
Dans la Femme au Portrait, petite merveille de Fritz Lang que le Cinéma Club nous propose jeudi soir, la réalité n’est qu’un rêve. Dans le très surprenant Looper, de Rian Johnson, le héros et son double se perdent
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A la Une.
Chères spectatrices, chers spectateurs,Si nous reprenons cette expression journalistique, c’est que les films « à la Une » de cette semaine parlent de média. Dans le sillage de Ace in the Hole, de Billy Wilder, où un journaliste travestit la réalité pour mieux l’exploiter, suit un cycle consacré aux média. Avec plusieurs œuvres qui ne ménagent pas toujours le […]
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Media power
Il suffit d’allumer son poste de télévision – ce qui est déjà une forme d’aliénation que nous déconseillons – pour constater que les média, dans leur forme souvent la plus vulgaire, ont pris le pouvoir.
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Coup de poing.
Cette semaine va cogner avec la ressortie sur copie neuve du film noir de Billy Wilder, Ace in the Hole, avec le terrifiant et pervers Killer Joe, de William Friedkin
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Retour au classique.
Après la sortie du maléfique Killer Joe, dernier film de William Friedkin qui demeure à l’affiche tout comme le cycle que nous lui consacrons, voici le retour de l’âge d’or hollywoodien
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Friedkin, De Palma, Dupieux et les autres.
Cette semaine est marquée par trois événements, deux cycles et une exclusivité, en l’occurrence le diabolique Killer Joe, dernier film de William Friedkin. Nous lui consacrons également un cycle
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De belles rééditions.
Le rôle du Grand Action est de vous faire découvrir des films. Des nouveaux, bien sûr, mais aussi des anciens auxquels le tirage numérique donne un nouvel éclat. Ainsi Stella, Femme Libre, avec l’incandescente Mélina Mercouri
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Mythes américains.
Le tueur froid, implacable, tout de noir vêtu, fait partie des mythes américains. Issu du western (Henri Fonda dans Il était une Fois dans l’Ouest), il a même été repris par
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Les bas-fonds.
Même si William Friedkin évoque Cendrillon pour parler de Killer Joe – « sauf que le Prince Charmant est un tueur », précise t-il – cette plongée dans le sous-prolétariat texan évoque plus la pièce de Maxime Gorki que le conte de Perrault
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De Palma is blowin’ in the wind.
Et voilà. C’est reparti pour un tour après cette pause estivale. Pendant que certains perdaient leur temps sur une plage, d’autres, nombreux, venaient au cinéma. Nous les en remercions et ils ont pu goûter au vent depalmesque qui a soufflé tout l’été
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Sous le soleil de De Palma.
Chères spectatrices, chers spectateurs,A la suite des avant-premières de la semaine dernière, vous vous doutiez bien que les deux magnifiques rééditions signées Brian de Palma allaient briller sur nos écrans de l’été. Dès mercredi, c’est Pulsions qui va prendre ses aises ; pour Blow Out, ce sera le 15 août. Patience dans l’azur. En attendant, vous pourrez vous réchauffer […]
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Une étoile nommée Stella.
Telle une comète, le festival Paris-Cinéma a laissé derrière lui une trainée de poussières d’étoiles. Parmi elles, quelques perles du cycle consacré à Olivier Assayas, et surtout Stella, Femme Libre, de Michael Cacoyannis
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Paris-Cinéma et Henri Langlois.
Avec la programmation de Paris-Cinéma, incontournable festival parisien, c’est une trentaine de films, dont beaucoup présentés par de prestigieux invités, que nous vous proposons cette semaine. Entre l’intégrale d’Olivier Assayas,
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Paris fait son cinéma.
Comme année entre fin juin et début juillet, le Grand Action accueille le Festival Paris Cinéma, devenu un rendez-vous capital du 7e art. Parmi la richesse de la programmation, nous avons retenu les ressorties de l’été, et surtout la première rétrospective intégrale d’Olivier Assayas.
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Histoires de familles.
La famille, qui est un grand sujet dans la vie (de réconfort, de conflit, de souci, de joie…) est évidemment un grand sujet de cinéma. La famille, son absence ou son délabrement, version comédie, est l’une des pièces majeures de Moonrise Kingdom,
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Semaine chargée.
Si parfois (rarement) notre programmation ronronne un peu, il est des semaines où ça se bouscule. Celle qui s’annonce risque de nous laisser, pour notre plus grand plaisir, ivres et pantois de cinéma.
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