Présent dans les premiers catalogues du CJC, le film de Jean Fléchet, Traité du rossignol, entre Nouvelle Vague et avant-garde, sur un ton libertaire proche des utopies de 68, croise expérimentation narrative, allégorie poétique et réflexion politique. Il témoigne des premières années du CJC en quête d'un cinéma « qui ne s'insère pas ou ne désire pas s'insérer dans ce que l'on a coutume d'appeler le système ».