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Catégorie : L’Édito

L'Édito

The smell of Télérama.

Tout comme les bourgeons au printemps et les feuilles mortes en automne, le Festival Télérama réapparait tous les ans. L’occasion de revenir sur l’année cinématographique écoulée en 7 de ses meilleurs films, visibles à un prix préférentiel grâce au magazine, qui soutient spécialement Au Bord du Monde. Claude Drexel,

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Je suis…

Je ne suis qu’une modeste lettre hebdomadaire d’un cinéma indépendant, mais je suis aussi, bien sûr, Charlie, policier, juif, et même agent d’entretien puisque l’un d’entre eux fut la première victime de ces sinistres

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2015 au Grand Action.

Cette nouvelle année, que nous vous souhaitons excellente, débute avec Whiplash, le film rythmé du jeune Damien Chazelle, et le cycle du toujours vert Werner Herzog, emmené par son duo d’Ascensions,

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Christmas Whiplash

Chères spectatrices, chers spectateurs,Au pied du sapin, ou plutôt dans la salle pano du Grand Action, nous vous offrons un nouveau et formidable film musical, qui marque sans doute l’acte de naissance d’un futur grand réalisateur. Whiplash, le dernier film de Damien Chazelle, a été salué par les festivals indépendants et la presse. Mais le jeune […]

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Herzog über Alles.

Quel est le plus beau cadeau à faire à un réalisateur ? Lui offrir un cinéma tout entier dédié à son œuvre. C’est le Noël que nous organisons pour Werner Herzog et aussi pour vous, cher public, qui êtes nombreux à plébisciter

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Toujours plus haut.

Plus haut d’abord avec Werner Herzog dans ses intrépides Ascensions. Un programme de deux documentaires restaurés où le plus étonnant des cinéastes allemands prend d’assaut le volcan de La Soufrière 

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Herzog au sommet.

Werner Herzog, sans doute le plus grand cinéaste allemand vivant, est au sommet cette semaine, et ce pour plusieurs raisons. D’abord pour la ressortie sur copie restaurée de deux de ses documentaires regroupés sous le titre Les Ascensions

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Addiction au bonheur

Outre le fait de rendre hommage au sublime film d’Agnès Varda que nous propose le Cinéma-Club (le Bonheur, vendredi soir), ce titre annonce aussi l’Ouverture d’Addiction à l’œuvre, une ambitieuse histoire du cinéma

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Les bons, les brutes, et les événements.

La ressortie sur une magnifique copie neuve du chef d’œuvre de Leone, Le Bon, la Brute et le Truand, nous donne l’occasion de ce titre, qui peut assez bien résumer notre programme. Côté « bons », il y a celui déjà cité, les autres films du cycle Sergio Leone,

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Clint Eastwood, Eli Wallach dans Le Bon, la brute et le truand L'Édito

Faut qu’ça saigne.

Entre Le Bon, la Brute et le Truand, accompagné d’un cycle Sergio Leone où les affrontements sont sanglants, et Massacre à la Tronçonneuse, complété par un Cycle Folies Meurtrières,

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Cogneurs novateurs.

Une semaine testostéronée et culte s’annonce avec trois films qui ont marqué leur époque et inventé un genre. D’abord, le fameux Massacre à la Tronçonneuse, cauchemar absolu de Tobe Hooper devenu modèle du slasher

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Jeu de massacre.

Quel film, tourné à l’arrache pour 60 000 dollars en rapporta plus de 30 millions ? Fut vilipendé, conspué, interdit, avant l’intégrer les collections permanentes du prestigieux MOMA ?

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La fête tous les soirs.

C’est un rêve de cinéphile : pendant une semaine, chaque soir à 20h, un grand film classique présenté par un critique. Et pas n’importe lequel, puisque avec La Carte Blanche à Michel Ciment, c’est le pilier de Positif en personne qui

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Seuls et indomptés.

Seul, comme le héros de Seconds, de John Frankenheimer ; indomptés, comme les deux voyous de L’Incident, de Larry Peerce ; seul, comme un cow boy du cycle Sergio Leone ;  indomptés comme le danseur d’un film de Vincente Minnelli 

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Un demi-siècle (ou presque) de cinéma.

Trois cycles, qui, de façon non exhaustive, balayent une cinquantaine d’années de cinéma. Au rayon événements, vendredi La Main au Collet, un charmant Hitchcock présenté par la non moins charmante Lise Brisson

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We can go au cinéma.

Chères spectatrices, chers spectateurs, On peut aller au cinéma, d’abord pour voir un film rare, We Can’t Go Home Again, presque une expérience, le testament plastico-filmique de Nicholas Ray. On peut aussi y aller pour vivre les événements de sa semaine au Grand Action. Vendredi, rendez-vous avec Les Années 50 au cinéma et Ariane, de Billy Wilder. Samedi, Marc […]

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La rentrée des événements.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Il n’y en aura pas moins de quatre cette semaine au Grand Action.  Le premier, organisé jeudi par Ciné-Ma-Russie, célèbre la version soviétique de l’ancien empire, avec Cinq Soirées, de Nikita Mikhalkov, projeté en présence du Téléramiste Pierre Murat. Le lendemain, retour de Lise Brisson et du Palais Galliera pour La Femme Modèle, de Vincente […]

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Incident de rentrée.

Il est du devoir d’un cinéma d’Art et d’Essai comme le Grand Action de sortir des sentiers battus et de proposer à son public des films oubliés ou méconnus. Ce fut le cas cet été avec Seconds – L’Opération Diabolique,

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Dur.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Avec Die Hard – Piège de Cristal en vedette, et le cycle Un certain Cinéma d’Action en bonus, nous faisons une rentrée dans le dur, le musclé, le testostéroné explosif. Le public qui préfère la poésie pourra trouver son bonheur vendredi soir lors des Vacances Romaines de William Wyler, projetées dans le cadre des Années 50 au Cinéma, qui […]

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Rentrée active.

Au retour de la pause estivale, notre rentrée s’annonce aussi active que celle du Gouvernement. En effet, le Un certain Cinéma d’Action, qui a ébloui les spectateurs aoûtiens, demeure à l’affiche.

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Août au cinéma.

Le Grand Action vous propose un programme plein de bruit et de fureur pour passer l’été. Ça commence dès mercredi 30 juillet, avec la ressortie sur copie neuve du Rideau Déchiré,

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Tensions estivales.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Seconds, le cauchemar de John Frankenheimer ressorti sur copie neuve par le distributeur Marc Olry de Lost Film, présent à certaines séances, impose une tension à notre programme. Ce n’est pas le cycle les Opérations Diaboliques qui accompagne Seconds qui la fera baisser. Ni d’ailleurs notre nouveau Cycle Alfred Hitchcock, encore moins White Dog, de Samuel Fuller, et […]

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Semaine animée.

Chères spectatrices, chers spectateurs, Riche semaine au Grand Action, avec la ressortie sur copie neuve d’un film envoutant et méconnu, Seconds, thriller paranoïaque de John Frankenheimer, accompagné par un cycle Les Opérations Diaboliques. Deux projections de Seconds (mercredi et lundi 19h) seront présentées par Marc Olry, distributeur du film, et trois autres événements viendront animer la semaine. D’abord un […]

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Diabolique.

Après le « volcanique » qui titrait notre lettre de la semaine dernière, voici donc « diabolique ». Un adjectif qui va très bien au White Dog, de Samuel Fuller

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Volcanique

Si White Dog, le chien tueur de Samuel Fuller est éruptif et que le cinéma de Luis Buñuel, brûlant comme une coulée de lave, a emporté sur son passage toutes les règles, à commencer par celle de la bienséance, cette lettre doit son titre à Stromboli.

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Sam et Luis.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Au premier regard, cette semaine s’annonce calme. Pas d’événement ni de soirée spéciale. Ce qui laisse toute la place à nos stars du moment, en l’occurrence d’immenses cinéastes que l’on ne voit que trop rarement dans les salles. Le premier, c’est Samuel Fuller, franc tireur du cinéma américain, à qui nous consacrons un cycle pour […]

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Eloge de la cruauté.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Le cinéma est un merveilleux outil pour rêver, rire, s’évader, réfléchir, découvrir, s’émouvoir. C’est aussi un art qui permet de montrer la bêtise et la cruauté des hommes. Ainsi le White Dog de Samuel Fuller (comme d’ailleurs certains des autres films de son cycle, dont le célébrissime Shock Corridor) est dressé pour dénoncer la violence raciste […]

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Des Fuller, des Palmes, des Russes et des Scientifiques.

Une semaine toujours dominée par les crocs de White Dog – Dressé pour tuer, le gentil chien tueur, qu’un cycle Samuel Fuller accompagne en promenade. Il prend quelques séances à celui des Palmes d’Or

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Un chien blanc et des événements.

Ça fait plaisir, lorsque l’on ressort un film de plus de 30 ans, de voir des salles pleines, un public en attente et une critique enthousiaste.  C’est ce qu’il se passe avec White Dog – Dressé pour Tuer, adaptation par Samuel Fuller du roman de Romain Gary

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Kristy McNichol dans Dressé pour tuer (White Dog) L'Édito

Fuller et Depardon.

Les grands du cinéma se succèdent au Grand Action. Samuel Fuller, décédé en 1997, sera représenté par White Dog – Dressé pour Tuer, adapté du roman de Romain Gary, que nous ressortons cette semaine sur copie neuve

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King John, himself.

My God ! John Boorman, le mythique réalisateur de Leo The Last et d’Excalibur (entre autres) sera parmi nous lundi à 19H30 pour nous présenter Délivrance, film hautement traumatique qui fut éclairé par…Vilmos Zsigmond

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Notre cher Vilmos.

Beaucoup de films cette semaine, dont bon nombre ont été éclairés et/ou seront présentés par notre cher Vilmos Zsigmond. C’est Pierre Filmon, membre de l’équipe du Grand Action et réalisateur, qui nous amène ce chef opérateur star avec qui il prépare un film

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Vilmos et les Palmés.

Semaine très chargée, avec le début de notre hommage à Vilmos Zsigmond, qui obtint une Palme en 1973 pour L’Epouvantail. Cet immense chef opérateur nous fait l’amitié de venir nous présenter deux grands films de Cimino qu’il a éclairés : Voyage au Bout de l’Enfer et La Porte du Paradis.

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Palmes d’Or et mumblecore

Alors que notre Cycle Mumblecore qui fête la sortie de Computer Chess d’Andrew Bujalski entame une dernière semaine riche en présentations

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Projections spéciales.

Nous entamons la deuxième semaine consacrée à notre Cycle Mumblecore mené par Computer Chess, d’Andrew Bujalski, pionnier  du genre

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Mumble quoi ?

Mumblecore ! C’est ce courant hyper pointu du cinéma américain hyper indépendant et hyper contemporain qui domine cette semaine. Mené par Computer Chess, le quatrième film d’Andrew Bujalski,

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Echec et cinémat

Les 64 cases du jeu d’échec fascinent l’humanité depuis bien longtemps. Elles sont au centre de notre sortie de la semaine, Computer Chess, un film plutôt étrange d’Andrew Bujalski

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Lacan et l’encan.

Notre programme de la semaine conserve les points forts de la dernière : The Canyons thriller pervers de Paul Schrader, et The Grand Budapest Hotel, fantaisie virevoltante de Wes Anderson

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Ho Corse, île de cinéma.

Au niveau de la programmation, c’est assez simple, avec les projections de nos dernières exclusivités, à savoir The Grand Budapest Hotel, la délicieuse fable survoltée de Wes Anderson, The Canyons le thriller érotico-tordu de Paul Schrader

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Le Grand Canyon

Après The Grand Budapest Hotel, la dernière fantaisie de Wes Anderson qui demeure à l’affiche, nous changeons radicalement de genre pour notre nouvelle sortie, qui se trouve sur l’autre versant de la grande vallée du cinéma. The Canyons marque le retour à la caméra d’un immense scénariste passé à la réalisation

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Jouons avec les cerveaux

En nous présentant le petit monde saugrenu du Grand Budapest Hotel, Wes Anderson s’amuse de nos neurones, tout en les amusant. C’est d’ailleurs ce qu’il fait depuis le début de sa carrière que son Cycle retrace. Une démarche proche de celle de Billy Wilder, dont Un, Deux, Trois est l’invité

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Fantaisisme pointilleux.

S’il fallait inventer un genre pour qualifier le cinéma de Wes Anderson, le « fantaisisme pointilleux » constituerait sans doute une piste sérieuse. Avec The Grand Budapest Hotel, qui tient

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Bienvenue à l’hôtel Anderson.

Nous attendons depuis un petit moment ce mercredi 26 février pour avoir le bonheur de vous proposer de passer deux heures en très bonne compagnie au Grand Budapest Hotel.

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Deux semaines de cinéma.

Cette quinzaine va être riche en évènements avec un Cinéma-Club autour de Zelig de Woody Allen, L’Impasse Tragique, d’Henry Hathaway pour le Ciné-Club Positif et Le Voyage Fantastique, de Richard Fleischer

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Le grand réveil.

Pas de bouleversement dans notre programme de la semaine, avec le Cycle Martin Scorsese, pour refaire un point sur la longue et fulgurante carrière du réalisateur du Le Loup de Wall Street, et toujours le Cycle Howard Hawks.

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Deux maîtres.

Voilà un titre qui s’impose à notre programme de la semaine. Le premier est un maître contemporain, qui vient encore de sortir une bombe cinématographique. Nous poursuivons donc notre Cycle Martin Scorsese, qui remet en perspective son Le Loup de Wall Street,

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De Wall Street à Télérama.

Comme chaque année en janvier, juste après les vœux, arrive le Festival Télérama : une semaine de rattrapage pour voir les films de l’année précédente. Nous avons sélectionné les 7 (un par jour) qui nous ont marqués en 2013 et que l’on voudrait vraiment que vous ayez vus.

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Les loups sont entrés dans Wall Street (ils y sont toujours).

Pour bien commencer cette nouvelle année qui, à n’en pas douter, sera heureuse, fructueuse et joyeuse (c’est ce que l’on vous souhaite), venez donc prendre 3 heures de grand délire scorsesien avec Le Loup de Wall Street, incroyablement incarné

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Joyeux Scorsese et bon Caprio.

Vavavoum ! L’année se termine en fanfare puisque Le Loup de Wall Street, nouveau film de Martin Scorsese avec Léonardo DiCaprio, entre dans la ville. Un Scorsese au pied du sapin, ça c’est du cadeau

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Le Club-Positif vous appartient.

cette semaine est marquée par le Club-Positif de décembre, le rendez-vous mensuel avec notre meilleure revue de cinéma. Mardi 17, nous reverrons La Nuit nous Appartient, de James Gray, que Jean-Christophe Ferrari viendra

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